10 août 2005
Un rêve sans corps...
Un rêve... Sans corps, dès maintenant
À l’ombre de mes nuits...
Le secret du jour...Fuit les distances...
Ton visage au fusain recouvre la limite
Sous une craie poudreuse... Un triangle de vie
Lorsque poussée vers toi
Je pars en fuite
Le temps d’effacer, ces encres d’autres nuits...
Une dernière fois... je pars ou tout aspire
D’effondrement de tout... De moi chaste et cachée...
Dans ce rêve d’impure, aux paroles non dites
Au compte de la soif... Un souffle assassiné
A ficeler les jours
D’un monde écartelé
Mes reins en brise le fer
Au pâle... Aux souvenances
A chaque instant de toi
Aux routes éphémères Dans ce gouffre de toi
D’un moment périssable
Ma porte de secours.
S’ouvrira sur l’amour...
Soupir.
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